Promenade, rencontre et conséquences [PV Foyet]

Sara se promenait dans la rue, elle avait finit sa première semaine au FBI, et c'était plutôt bien passé. Elle avait dû mal imaginer pourquoi des personnes en venait à tuer d'autres personnes, c'était vraiment trop triste. Pour les victimes, mais également pour les criminels. C'est sans doute parce qu'elle n'était pas une criminelle qu'elle ne pouvait pas comprendre.

Elle était habillé en jeans et basket et se dirigeait vers le parc pour courir un peu et faire de l'exercice. Elle souriait tout de même heureuse de pouvoir aider les gens à faire la lumière sur ce qu'est arrivé à leurs proches. A faire connaître la vérité. Pour elle, protéger les victimes étaient plus important que punir les coupables.

Elle s'arrêta devant le passage pour piéton, et attendit avec quelques personnes que se soit son tour de passer. Elle sortit de sa poche son portable pour regarder l'heure, il était 9h, elle avait tout le temps qu'il lui fallait. Pour l'instant, pas de message de la part de l'agent de liaison du FBI, donc pas de meurtre, c'était essentiel. C'était une bonne journer qui commence...

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

George, comme a son habitude à cette heure, savourait un café à la terrasse d'un restaurant, observant les allées et venus de la populations de Quantico. Pas forcément à la recherche d'une éventuelle victime, il aimait simplement observer la déchéance de l'espèce humaine. Un homme bien portant, accompagné de ce qui devait être sa femme, s'installa deux tables à coté de lui, et commanda un gros steak-frite accompagné d'un soda light. Un sourire mesquin se dessina sur le visage de George. Pourquoi consommer des menus aussi gras en buvant une boisson à priori non-calorique. Pour le gout, ou pour se donner bonne conscience ? C'est ce genre de dénégation qu'aimait poser George.

Il déposa un billet sur la table et s'éloigna. Il s'arrêta a un passage piéton et s'alluma une cigarette. Il pris une profonde bouffée de nicotine qu'il recracha avec plaisir, en observant les gens pressé qui attendaient impatiemment le passage des voitures. George remarqua une jeune femme aux long cheveux châtains, qui semblait assez paisible. Cela la distingua du reste de la population, en plus de sa beauté. Le feu passa au vert, les gens commencèrent à traverser la route. Retirer au monde cette fraicheur, cette joie de vivre, cette insouciance... Quelle délicieuse sensation emplissait George en cet instant. Il tourna les talons, commençant à suivre la jeune femme qui marchait en direction du parc...

Sara vit le passage pour piéton passait au vert. Elle sourit et se remit en marche vers le parc. Elle regardait les gens qu'elle croisait, certains étaient gros, d'autre maigre, il y avait aussi des grands et des petits, des femmes et des hommes. Beaucoup était en tailleur, costume car elle se trouvait non loin du quartier des affaires. Elle soupira et prit une petite voix piétonne, qui permettait de couper le pâte de maison, qui espérait la rue principale, de l'avenue, et ensuite le parc où elle pourrait courir un peu.

Marchant dans la ruelle, sentit que quelqu'un la suivait, mais elle n'y prêta pas de suite attention, après tout il pouvait lui aussi se rendre au parc, il pouvait emprunter cette ruelle sans que ça soit elle qui suive. Avec cette enquête du FBI, elle devenait un peu paranoïaque. Et ce n'était pas une bonne chose, elle qui ne voulait pas perdre sa foi en l'humanité. Que l'homme soit capable de la plus affreuse chose tel que le meurtre était possible. Donc l'inverse était possible et Sara voulait croire en cela.

Elle arriva au bout de la rue, et monta sur la petite passerelle qui permettait de franchir l'avenue sans avoir à la traverser, c'était une bonne chose, cela avait éviter de nombreux accidents sur l'avenue et sans doute sauvé des vies. Mais il faut toujours un premier accident avant que les gens comprennent ce qu'il faut faire pour l'éviter. Elle vit que le même homme était toujours derrière elle. Mais elle n'était pas seule, donc pour l'instant elle ne risquait rien.

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

La jeune femme semblait de pas avoir remarqué Georges qui la suivait. Il déchantât très vite, car son plaisir grandissait en même temps que la peur de sa victime. Mais une partie que l'on finie rapidement vaut t-elle la peine d'être joué ? Et puis, il y avait beaucoup de monde, alors c'était normal qu'elle ne le remarque pas. Se fondre dans la masse était une des qualités principales de George. Quand bien même, dans un pays libre, il pouvait se déplacer librement et aller au même endroit qu'elle.

George écrasa sa cigarette et continua de suivre la jeune femme, tout en observant ses formes. Elle était assez joli, de dos, et ses fesses était bien mise en valeur, serré dans son jean. George imagina aisément les nuit de plaisir qu'elle devait procurer à son amant. Que deviendrait t-il sans elle ? Cette pensée ravi George, qui, plus que la souffrance qu'il appliquait physiquement à ses victimes, jouissait du malheur de leur entourage. Cette jeune fille, aux faux-airs de sainte-ni-touche, avait du, et devait encore aujourd'hui, être choyée par son entourage, plus que nécessaire. Une famille peut-être tellement soudée... George eu du mal à se retenir de la tuer, maintenant, sur la passerelle qu'elle avait empruntée et sur laquelle il l'avait suivie. Trop de monde, trop de lumière, trop de risque. Attendre un moment plus propice....

George caressant machinalement la crosse de son 44. Magnum, caché dans sa veste, comme pour lui dire de patienter. Il serra la lanière de son cartable dans cuir, qui contenait, aux milieu des copies d'étudiant en informatique, un couteau de chasse ainsi que son masque.

- Patience, marmonna Georges, le moment viendra...

Sara continuait de marcher et trouver de plus en plus inquiétant, cet homme qui la suivait, elle en était presque sûre maintenant. Mais que pouvait-elle faire, franchement courir en criant comme une possédée. Elle avait quelques notions de combat, mais si il sortait un couteau ou une arme, elle ne ferait pas le point avec ses petits points et ses petites jambes. Soupirant, elle espère quand poussant la petite porte du parc, il allait prendre un autre chemin et tout ceci n'était que le fruit du hasard...

Elle poussa la porte du parc, et avança vers un banc, où elle commença ses étirement, autant ne pas trop lui faire plaisir et reprendre ses habitudes comme si elle ne l'avait pas remarqué. Sara ne savait pas trop quoi faire, elle posa son pied sur le dossier du banc et fit deux-trois mouvement d'étirement. Il y avait encore une dame âgée qui promenait son chien, un petit caniche. A la course, elle pourrait peut-être le semer après tout. Elle changea de jambe, et reprit ses mouvements d'étirement, autant pas se froisser un muscle, surtout si cet homme n'était finalement pas si dangereux.

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

Georges décida que l'agresser au milieu d'un parc, à cette heure, n'était pas une bonne idée, même s'il ne devait y avoir que peu de personnes. Il décida donc de ne pas la suivre dans le parc, pour ne pas éveiller les poussons de la jeune femme. Il remarque qu'elle commençait à s'étirer, lançant quelques regards dans sa direction. A une dizaine de mètre, Il y avait un arrêt de bus. Georges décida de s'y mettre, car de la, il pouvait faire croire qu'il attendait le bus, et gardait une bonne visibilité sur le parc... et la jeune femme.

"Voila une bonne partie de chasse qui débute", pensa Georges avec un sourrire malveillant.

Sara se sentit mieux, quand l'homme en question n'entra pas dans le parc, il alla s'asseoir sur le banc pour attendre le bus. Soulagée, elle était un peu, après avoir fait quelques échauffements. Elle regarda le parc et décida de faire le petit tour, et ne pas s'aventurer dans le haut du parc, où on pouvait se retrouver éloigner de tout, et isolée et cachée. Elle avait passé une bonne soirée avec un petit-ami, tout là haut, cachée, quand elle était au lycée.

Elle partit en petite foulées pour faire deux-trois fois le tour du terrain. Elle en avait pour un demi-heure, c'était suffisant, elle ne faisait pas de jogging pour le sport, mais plutôt pour rester en forme, et avoir de légères formes. Rien de bien compliqué en somme. Un tour lui prit dix minutes, en repassant devant la petite grille du parc, elle jeta un coup d'œil, à l'arrêt du bus, l'homme en question, était toujours là. Elle soupira et regarda les lignes du bus, B et F, étaient les lignes qui passaient par là, c'était des lignes courantes, il devait y avoir un bus tous les quart d'heure. En admettant que le bus venait juste de passer quand il s'est assis, à son prochain passage, il devrait être parti.
*Et tu fais quoi, ma fille, si il n'est pas partit hein?* pensa Sara, en tournant le dos à l'arrêt de bus, pour courir normalement dans l'autre direction. Sans vraiment savoir pourquoi, elle se mit à croiser les doigts en espérant qu'il ne soit plus là à son prochain passage...

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

Deux bus étaient déjà passé, lorsque la jeune femme avait fini son tour du parc. Bien que cela semblait être une bonne idée au début, George déchanta vite. Il se leva, longea le parc, regarda autour de lui et comme il vit que personne ne l'observait, il passa au dessus des grilles du parc. Celle-ci faisant un mètre de haut, ce fut un jeu d'enfant. Georges atterrit dans un bosquet. Connaissant le parc, puisqu'il avait l'habitude, après le travail, de venir réfléchir et décompresser ici, Georges avait bien choisit cet endroit, car il lui permettait d'avoir une bonne vue sur le parc, mais également il pouvait se déplacer dans le bosquet sans se faire repérer. Il sorti son masque et le posa sur son visage. La jeune femme était en train de finir un nouveau tour, et ne semblait avoir rien remarqué.

- Patience, ma jolie, ton heure viendra, murmura George. la voix résonna dans le masque, ce qui lui donna un effet terrifiant. Georges ouvrit le barillet de son 44, et constata qu'il était armé de 6 balles, ce auquel l s'attendait.

- A ton prochain passage, tu a bon ma jolie...

Sara courrait le long du parcours, et se demandait si l'homme était encore là, où si il était partit. Elle avançait rapidement vers le bosquet, et remarqua que son lacet était défait. Elle s'arrêta devant un banc, et mit son pied dessus pour refaire son lacet. Il ne manquerait plus qu'elle tombe et se casse quelque chose, se serait un peu bête. Elle se redressa et s'étira dans tous les sens. Finalement deux tours suffiront pour aujourd'hui, pensa la jeune fille. Elle finit son tour au pas, tranquillement à étirer les muscles de ses bras et son cou.

Elle soupira et arriva à l'endroit où elle pouvait voir l'arrêt de bus, l'homme avait disparu. Sara se sentit un peu soulagée. Elle respira un peu mieux, quand un bruit se fit entendre dans le bosquet derrière elle. Elle releva la tête vivement et se mit à écouter tous les bruits du parc. Les voitures qui passaient un peu plus haut sur l'avenue, les enfants qui criaient de l'autre côté du parc, mais qu'elle ne pouvait pas voir. Et une respiration derrière elle....

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

La jeune femme s'était arrêté pour faire son lacet. Elle regarda vers l'abri de bus. Elle n'était qu'a quelques mètres de lui. Il n'aurait surement pas de meilleure occasion, il décida donc d'agir : il sortit de sa cachette et couru vers la jeune femme en sortant son arme. La jeune femme ne bougeais plus. Il pointa son revolver sur l'arrière de son crâne, le bras tendu. Elle était à sa merci, qu'elle délicieuse sensations, presque jouissive, de sentir la mort au bout de son index droit.

- Je suis le meilleur à cache-cache, ricana Georges. Retournes-toi. Si tu crie, tu est morte, et j'aurais disparu avant même qu'une goutte de ton sang touche le sol...

Sara entendit un respiration dans son dos, et quand elle sentit un revolver sur l'arrière de son crâne, elle se figea comme une statue de glace. Elle était terrifié, et ne savait pas trop quoi faire...
Je suis le meilleur à cache-cache! Retournes-toi. Si tu crie, tu est morte, et j'aurais disparu avant même qu'une goutte de ton sang touche le sol... fit une voix. Sara reconnut la voix d'un homme mais elle ne pouvait pas faire grand chose.
"Je... Qu'est ce que... vous voulez? fit Sara... Je n'ai pas d'argent sur moi... "ajouta-t-elle ce qui était entièrement vrai, à part les clefs de son petit studio.

Elle ne savait pas que faire, elle pensait que sa vie n'était pas finie, qu'elle voudrait vivre encore longtemps. Et devenir un vielle grand-mère gâteuse avec ses petits enfants. Elle voulait embrasser sa mère, et dire merci à son père. Elle voulait retourner au FBI, pour retrouver son travail. Elle voulait rencontrer un homme et avoir des enfants. Elle voulait continuer de vivre. Je veux vivre, ne cesser de crier ses pensées dans sa tête.
"Je vous en prie, ne me tuez pas..."

Là son cerveau, comprit qu'elle pouvait peut-être faire quelques choses pour s'en sortir, elle avait quelques cours d'autodéfense mais face à une arme c'était peut-être un peu beaucoup. Mais si cet homme avait autant confiance en lui, il se servirait de ses mains pour la tuer, et non d'une arme. Doucement elle se retourna pour voir le visage de cet homme... Elle tourna doucement sur elle-même et ...

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

La jeune femme commença à se retourner. Georges en profita pour lui asséner un coup de crosse sur la tête. La jeune femme s'écroula par terre, dans une semi conscience. Georges regarda autour de lui. Il n'y avait personne dans le parc. Il prit la jeune femme dans ses bras et la traina dans le bosquet, à l'abri des regard indiscret. il la posa contre un arbre et s'installa en face d'elle. Son masque, cachant son visage, lui donnait une impression perverse de puissance. Il avait sortit son couteau, et grattait le sol avec. Il entendit un petit gémissement, la femme ouvrait les yeux.

- Alors, dit moi, ca te fais quoi d'être à la merci du faucheur ?

Sara se retourna et n'eut le temps que de voir un masque noir, avant de sentir un violent coup sur la tête. Le noir et le vide fut instantané, mais quelques secondes plus tard, elle sentit vaguement qu'on la tirait dans les buissons. Puis elle sentit un appui dans son dos... Elle gémit et ouvrit avec peine les yeux. Tout son corps lui disait de dormir, mais son esprit lui disait de rester éveillée. Elle avait beaucoup de mal à savoir quoi faire. Elle ouvrit les yeux et vit l'homme, il avait un couteau à la main. Elle sentit la peur et l'angoisse l'envahir...
Alors, dit moi, ca te fais quoi d'être à la merci du faucheur ? fit l'homme.

Sara se redressa avec peine et décolla son dos de l'arbre, sa main posait à terre pour l'aider n'arrêta pas de trembler. La jeune femme ne savait pas si c'était la peur ou le coup sur la tête. Mais cette situation de lui plaisait pas du tout. Mais à qui plairait-elle?
"Je.... Ca ne me fait rien du tout... Je n'ai pas peur de vous..."
La jeune femme voulait qu'il parte ou bien qu'il la tue vite, peut-être que si elle criait quelqu'un viendrait pour l'aider ou même la sauver... Ses pieds ne semblaient pas encore vouloir suivre ce qu'elle leur demandait, mais peut-être pourrait-elle lui donner un coup de pied et partir en courant...

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

Georges vit la jeune femme se redresser. Visiblement, elle était prête à se défendre.

- Tu n'as pas peur ? Et bien... J'aime quand on me résiste. La sensation de plaisir lorsqu'on enfonce une lame dans la chair, d'une personne qui nous a rendu la tache difficile... C'est quelque chose que tu ne peux même pas imaginer....

Georges se délectais de cette sensation. La jeune femme s'était mise de façon à pouvoir se relever. George sourit.

- Je t'ai frappé dans l'os zygomatique, directement sur un point de passage des nerfs faciaux. Y compris le nerf oculaire. Ce qui signifie que si tu essaye de te redresser dans les cinq minutes, tu n'auras pas le sens de l'équilibre et tu va t'écrouler. Mal foutu, le corps humain, non ?

George marqua une pose et pointa le couteau vers la jeune femme.

- Pas la peine d'essayer de crier non plus. Tu serait étonnée de voir à quelle point les entrainement militaire sont efficace pour nous apprendre à éliminer vite et silencieusement un ennemi.

George s'appuya contre l'arbre derrière lui. Il réfléchi un instant. La tuer, comme ca, dan ce parc... Quel manque d'imagination. Il fixa la jeune femme. Visiblement, il prenait moins de plaisir que tout à l'heure. Puis, il décida d'élargir son jeu pervers.

- On va faire un jeu. Je vais te poser trois question. Si tu réponds aux trois questions, et que les réponses me plaisent -j'entends par la quelles me paraissent être la vérité-, je te laisserais partir. A toi de voir.

Sara était vraiment angoisse maintenant, elle n'arrivait pas à se concentrer, et son corps semblait refuser de lui obéir normalement. Elle essaya de se relever, mais son agresseur lui dit :
Je t'ai frappé dans l'os zygomatique, directement sur un point de passage des nerfs faciaux. Y compris le nerf oculaire. Ce qui signifie que si tu essaye de te redresser dans les cinq minutes, tu n'auras pas le sens de l'équilibre et tu va t'écrouler. Mal foutu, le corps humain, non ?
Sara le regarda avec colère dans les yeux, mais n'essaya plus de se relever et laissa retomber son corps contre l'arbre. Et soupira de crainte, de peur et d'angoisse. Elle ne devait pas montrer sa peur.
Pas la peine d'essayer de crier non plus. Tu serait étonnée de voir à quelle point les entrainement militaire sont efficace pour nous apprendre à éliminer vite et silencieusement un ennemi. ajouta-t-il. Sara y avait bien pensé, mais ce n'était pas la chose à faire pour l'instant... Il s'essaya en face d'elle. Et Sara de son côté essayait de rassembler son esprit pour dire des choses plus cohérentes... Et également pouvoir retrouver les mouvements de son corps.

On va faire un jeu. Je vais te poser trois question. Si tu réponds aux trois questions, et que les réponses me plaisent -j'entends par la quelles me paraissent être la vérité-, je te laisserais partir. A toi de voir. fit-il. Sara le foudroya du regard, c'était peut-être la seule chose qu'elle pouvait faire. Elle soupira et détourna son regard pour regarder les feuilles de l'arbre.
"Posez vos questions!" fit-elle au bout d'un moment, que pouvait-elle dire d'autres. Une chance de survivre? Elle se demanda ce que pouvait être les questions d'un psychopathe, sadique, cruel... Elle attendit avec méfiance sa première question...

Messages : 55 Date d'inscription : 19/08/2010

La jeune femme detourna le regard. George, pourtant, aimait lire dans les yeux de ses victime. Il la prit par le menton et tourna son visage pour l'a voir de face.

- Première question, assez facile, somme toute...

George Marqua une pause et souffla sous son masque.

- Comment t'appel tu ?

» Georges Foyet
» Dangeureuse rencontre [George Foyet ♥]